Valneva rend disponible son vaccin contre le chikungunya
Les maladies transmises par les moustiques représentent un véritable défi pour la santé publique mondiale. Dans ce contexte, Valneva lance dans les officines le premier vaccin contre le chikungunya autorisé en Europe. Wellcom a joué un rôle central dans la sensibilisation et la communication en amont de son lancement en France.
Wellcom, en collaboration avec un cabinet d’affaires publiques spécialisé en santé, a organisé une table ronde, Maladies émergentes : comment mieux prévenir et anticiper l’avenir ?, à destination des médias et des institutionnels. Elle a réuni des experts, entomologistes, rhumatologues, ainsi qu’un représentant des collectivités d’outre-mer, territoires grandement concernés. Un échange axé sur les freins actuels et leviers dans la prévention des infections vectorielles, les expériences vécues et les initiatives préventives déjà existantes. Les grands axes pour mieux prévenir les épidémies font l’objet d’un livre blanc rédigé avec des experts et initié par Valneva.
Connaître le risque perçu par les Français
Cet événement a également été l’occasion de dévoiler les résultats d’une enquête d’opinion menée avec OpinionWay pour Valneva France sur le niveau de connaissances et la perception des Français des maladies émergentes. Selon cette enquête, deux Français sur trois estiment que le risque d’attraper une maladie émergente en France est plus élevé qu’il y a dix ans. Ces résultats soulignent la nécessité d’une sensibilisation accrue et de stratégies de communication efficaces.
Préparer le lancement
Cette première étape de communication a permis de toucher une large audience médiatique avec de belles retombées dans des médias grand public et professionnels (Version Femina, Pourquoi Docteur, La Provence, Le Quotidien du Pharmacien…) et de sensibiliser de nombreux institutionnels.
« Les efforts d’éducation et de sensibilisation permettent de favoriser la prise de conscience collective et individuelle des risques. Cette phase essentielle a permis de revenir sur les différents moyens de prévention contre le chikungunya, dont désormais fait partie la vaccination. » – Gaëlle Ryouq, directrice de clientèle chez Wellcom