En 2023, une enquête de Great Place to Work révèle que 78 % des salariés estiment qu’il est « très important » que l’entreprise prenne des mesures en faveur du bien-être au travail. Et pour cela, le sport constitue un levier simple et efficace :
1. Pour booster le bien-être au travail
Faut-il encore rappeler les impacts positifs du sport sur la santé ? Réduction des risques de maladies cardio-vasculaires, de cancers et de diabète, augmentation des capacités de concentration, ou encore sentiment d’accomplissement et de bonne humeur : le sport booste notre bien-être physique et psychologique. Lorsqu’on est mieux dans ses baskets, on est aussi plus inspiré, plus à l’écoute de ses sens et plus créatif !
2. Pour réduire les effets négatifs du stress
De nombreuses recherches montrent que 30 minutes d’activité physique quotidienne, cinq fois par semaine, ont des effets anti-stress importants. Les salariés ne s’y trompent pas : 52 % d’entre eux considèrent le sport comme un atout privilégié pour gérer leur stress au quotidien. [1]
3. Pour lutter contre les « TMS » et l’absentéisme
Le sport prévient les troubles musculo-squelettiques, une pathologie qui ne cesse de progresser, notamment avec la généralisation du télétravail. Un collaborateur qui pratique une activité sportive régulière gagnerait en moyenne 3 ans d’espérance de vie [2]. Les entreprises qui encouragent le sport constatent une baisse significative des arrêts maladies.
4. Pour obtenir de meilleures performances
Un salarié plus sportif, c’est aussi un salarié plus performant. Grâce au sport en entreprise, la productivité individuelle grimpe de 6 à 9 %, avec des retombées pouvant atteindre 14 % pour l’entreprise !
5. Pour inciter à jouer collectif
Enfin, le sport favorise aussi l’engagement et la cohésion d’équipe. D’après une enquête de Cisco et Ipsos, 80% des salariés estiment avoir de meilleures relations avec leurs collègues grâce au sport en entreprise, et 77% affirment qu’il contribue à re motiver les troupes ! Allez, on s’y met ?
[1] Etude de Malakoff Médéric Humanis
[2] Étude du Medef et du Comité national olympique et sportif français (2015).
