À suivre sur une demi-journée, les sessions de media training s’adressent à tous, même à ceux qui sont les plus habitués à prendre la parole. « Même si les dirigeants sont rôdés à l’exercice, cet outil leur permet de prendre du recul sur leur discours en le confrontant à la réalité des journalistes. Une session peut également fournir beaucoup de matière et d’éléments de réponse aux communicants », explique Valérie Lassalle, Directrice de clientèle.
Les écueils à éviter
Les sessions de media training se composent d’une partie théorique (présentation des médias et de leurs attentes) et d’une partie pratique (simulation d’une interview menée par un journaliste). « Le contenu de cette formation est adapté au niveau de compétences des participants, mais aussi au secteur d’activité des entreprises et au type de média visé. S’adresser au grand public est par exemple plus difficile que de s’adresser à la presse professionnelle ». Parmi les écueils souvent relevés chez les participants : donner trop d’informations à la fois, ou bien ne pas donner assez d’exemples concrets. « Durant une interview, l’idée est de faire passer au grand maximum 2 messages différents et de les répéter, afin de les imposer à notre interlocuteur. Sinon, il reste libre de choisir ce qu’il en retiendra. Enfin, un discours trop conceptuel ou pas assez imagé marquera moins facilement les esprits ».
La double expertise d’une agence RP
Grâce à l’intervention d’un journaliste, les formations proposées par les agences RP offrent une double expertise à leurs participants. « Le journaliste vient compléter notre connaissance de la communication en y apportant son expertise des médias, en travaillant la forme du discours et la posture à adopter. L’alliance des deux donne un avantage conséquent aux agences RP. Enfin, nous connaissons bien nos clients, et pouvons donc nous adapter plus facilement à leurs enjeux ». Ainsi, Wellcom, organisme de formation agréé, forme en moyenne 100 personnes chaque année, et affiche un taux de satisfaction moyen de 95 %.