INH-Inside Home : les offres marketing de La Poste s’invitent à votre domicile
La crise sanitaire a profondément changé le rapport des Français à leur logement. Tour à tour bureau, salle de sport, lieu de socialisation ou de divertissement, le domicile a réaffirmé sa place prépondérante dans leur quotidien. Au point d’être devenu le lieu principal de leur prise de décision et donc une cible de choix pour les marques.
Le 9 septembre dernier, La Poste a présenté, lors d’une conférence de presse dédiée, son tout nouveau concept marketing INH (pour Inside Home). « Nous sommes partis du constat que la crise sanitaire a eu un fort impact sur la perception du domicile par les Français. Nous avons lancé une étude Illigo qui a montré que 86 % des décisions d’achats se faisaient au domicile », explique Arnaud Tomasi, Directeur de la BU Media Relationnel à La Poste. De quoi concevoir une offre de solution pour le BtoB et BtoC afin de s’adresser à leurs cibles directement chez eux.
Un lieu multifonctionnel et surinvesti
Afin de décrypter cette étude Illigo, Wellcom a fait appel au sociologue Jean-Claude Kaufmann pour qui « Le domicile est non seulement le lieu le plus essentiel de l’existence, mais il est de plus en plus multifonctionnel et surinvesti ». Et donc qui de mieux placé que La Poste pour accompagner les marques dans ces nouvelles stratégies de communication ?
Caroline Pascault, Directrice Conseil chez Wellcom précise : « En tant que créateur majeur de lien avec le domicile, La Poste Solutions Business s’est naturellement investie pour répondre à cette tendance et créer une offre pertinente autour d’un concept fédérateur : l’Inside Home (INH) ». Cette toute première offre globale de solutions s’appuie ainsi sur du multicanal associant catalogues, assistants vocaux, échantillons personnalisés, imprimé publicitaire augmenté… des solutions relevant du « Drive from Home ». « Pour promouvoir cette nouvelle offre, La Poste déploie une campagne proposant notamment des opérations spéciales en presse spécialisée, des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, des chroniques radio… », conclut Caroline Pascault.