Aujourd’hui une entreprise ne peut plus se contenter de simplement délivrer des produits et services. Les consommateurs sont en attente d’engagements, environnementaux bien sûr, mais pas seulement. Ils veulent qu’une entreprise joue un rôle d’un point de vue social, éthique, d’inclusion etc. Les thématiques d’ESG (critères environnementaux, sociaux, et de gouvernance) et SSE (Sécurité, Santé, Environnement) gagnent du terrain, et les entreprises ont besoin de communiquer sur ces engagements. Le rapport constitue alors un outil parfaitement adapté.
Garder la main
L’avantage de ces documents ? Ils permettent d’aborder une multitude de sujets et de prendre le temps de montrer concrètement les engagements d’une entreprise. Avec un rubriquage cohérent, une ligne éditoriale claire et attractive et une mise en page soignée et créative, c’est une façon de marquer le coup. Plus qu’un post sur les réseaux sociaux noyé dans une masse d’informations et qui risque de passer sous les radars, le rapport est un objet de communication durable, qui peut être facilement digitalisé. Attention toutefois à ne pas tomber dans le piège du greenwashing : il faut qu’un discours puisse s’appuyer sur des faits concrets, et qu’une entreprise ait des choses à raconter. Enfin, le rapport est un support que l’on peut gérer de bout en bout contrairement aux réseaux sociaux où l’hostilité est à portée de clic et où une initiative peut vite se retourner contre son initiateur.