Influence : pourquoi ne pas faire appel à votre agence de relations média ?
L’influence n’est plus l’apanage des pure players : c’est vers son agence de relations média que l’annonceur doit se tourner, la plus à même de concevoir des stratégies cohérentes et capable de capter une audience. L’éclairage de Charlotte Caron et Jean-Christophe Malard, Directeurs de clientèle chez Wellcom.
L’influence est un média comme un autre. Cette vérité qui pourrait sonner comme une évidence demeure pourtant aujourd’hui trop méconnue des annonceurs. Ces derniers ont tendance à percevoir les réseaux sociaux, près de 10 ans après leur naissance, comme des environnements à part.
Or, c’est bien parce que l’influence est un média comme un autre, au même titre qu’une station de radio, qu’une agence de relations média est le partenaire tout naturel d’une stratégie d’influence. « Les publics ne sont plus uniquement concentrés sur leur journal de 20h ou leur titre de PQR. Leur attention se tourne vers les réseaux sociaux. Et puisque notre cœur de métier est d’avoir une part d’audience durant ces temps d’attention, une agence de relations média est la mieux placée pour déployer une stratégie d’influence », explique Charlotte Caron.
Pour une stratégie d’influence, nul besoin de se tourner vers des pure players. « Ce réflexe de faire appel à son agence pour une campagne d’influence n’est pas encore acquis. Lorsque les social média sont apparus c’était LA nouveauté, et les annonceurs voulaient donc s’adresser à des spécialistes. Mais aujourd’hui la donne a changé : les professionnels des relations média ont clairement intégré ces nouveaux médias dans leur stratégie. Il faut concevoir Instagram ou Twitter comme un décodeur TV, sur lequel les chaînes sont les différents influenceurs : certains sont spécialisés en sport, d’autres en produits de beauté, certains s’adressent à des urbains etc. Si l’on sait faire un média planning pour un média traditionnel, on est tout à fait en mesure d’en faire un pour un réseau social » conclut Jean-Christophe Malard.