Nous y voici. Sept mois avant l’élection présidentielle, inspirées du modèle américain, les primaires des Républicains qui seront suivies de celles de « la belle alliance populaire » initiées par le Parti Socialiste sont à l’ordre du jour. Elles ne seront pas les seules au demeurant, puisqu’il faudra aussi compter avec les primaires citoyennes comme, par exemple, La Primaire.org qui a qualifié le 15 juillet seize candidats conduisant, au final, à la sélection d’un seul « candidat citoyen » ou « La Primaire des Français » dont les organisateurs ont l’expérience de la politique la plus importante.
On devrait se réjouir de ces primaires qui témoignent d’une vitalité démocratique que d’aucun désespéraient de voir advenir dans notre pays. Elles inspirent néanmoins des échanges par médias interposés qui risquent de laisser au vrai débat d’idées la portion congrue… Et à l’instinct de domination la part du chef.
Nous avons pourtant tellement besoin de remettre à plat nos modèles de fonctionnement en faisant le tri entre des convictions utiles et des croyances parasites, parce que trop fortement ancrées pour laisser notre jugement s’exercer de façon pragmatique. Ne laissons pas les politiques s’accaparer le débat, il doit aussi être saisi par chacun d’entre nous. N’est-ce pas, tout simplement, la définition de la République ?
Antoine Genton, un bon candidat pour devenir la future star du PAF, a accepté de répondre aux questions de Wellnews de même qu’Aurélie Sutter, Directrice Marketing et communication du Groupe BlueLink qui accompagne les entreprises dans la conception et la mise en place de leur relation client, dont les solutions assurément expertes n’ont de leur côté absolument rien de primaire.
Bonne lecture !