La digitalisation des marques et de leur communication a considérablement bouleversé l’attitude et les messages de l’entreprise face à ses publics : consomacteurs, influenceurs, blogueurs, fans Facebook, followers et bien d’autres. Peu d’entreprises peuvent encore prétendre pouvoir répondre de manière automatique et quasi-indifférente à une crise contemporaine touchant l’ensemble de ces publics. En quelques heures, une marque peut être confrontée à un phénomène de bad buzz sur les médias sociaux et voir l’ensemble de ses communications malmenées, critiquées, voire massivement déformées et relayées. Entre cas concrets et témoignages, Mounira Hamdi, consultante en communication web et e-réputation, et Anthony Babkine, Digital Strategist au sein de l’agence Wellcom, offrent dans « Bad buzz », un tour d’horizon des bonnes pratiques à adopter pour traverser une crise 2.0.
« Dans cet ouvrage, nous avons souhaité, en toute humilité, apporter des éléments de réponses aux professionnels de l’image et de la communication. Si aucun bad buzz n’est identique à un autre, il est aujourd’hui indispensable pour les entreprises de s’adapter aux médias sociaux et de construire des discours en phase avec les codes propres à l’univers digital. La communication de crise doit être pensée pour le Web : transparence, authenticité, formats adaptés, relais ciblés et pertinents sont autant de réflexes à adopter. Lorsqu’il est bien géré, un bad buzz peut même faire grandir la marque et renforcer le sentiment d’attachement des consommateurs », expliquent Mounira Hamdi et Anthony Babkine.
Ouvrage disponible aux Editions Eyrolles , Prix : 23 € – 190 pages