Quoique assez convaincante, il me semble intéressant de rapprocher cette vision de celle développée dans le même journal, sans qu’il y ait de lien, par Valéry Giscard d’Estaing évoquant une couverture de mai 1974 où apparaissait Marylin Monroe. Notre ancien président se remémore Marylin en ces termes : « Ce n’était pas la plus belle actrice de son temps, mais sa gestuelle était remarquable. On parle de beauté en termes statiques, mais la beauté, c’est un mouvement, l’élégance précède la beauté. »
Il en est de même entre l’esthétique du capitalisme et celle que nous offre l’art qui sera toujours supérieur car il s’inscrit dans un mouvement qui lui est propre. Un présent qui porte en lui-même une histoire et un avenir suggéré. C’est en cela qu’il est sans doute foncièrement opposable à l’économie et c’est tant mieux. L’art – comme Marylin – apporte une dimension de rêve sans laquelle le capitalisme ne saurait s’y intéresser.
Dans cette nouvelle édition de Wellnews, vous trouverez notamment l’interview de Matthieu Scherrer, Rédacteur en Chef de 01 Business qui présente sa nouvelle formule qui revient en kiosque le 6 juin et le portrait de Gianmarco Monsalleto, Avocat Associé, Directeur général de TAJ passionné par ce monde à la fois financier et stratégique et grand amateur d’Opéra. Un esthète assurément.
Bonne lecture !