La France en mal de valeurs ?
A une époque où la grande majorité des entreprises se sont, à minima, interrogées sur leurs valeurs et pour laquelle certaines ont déjà mis en place une démarche spécifique, on est en droit de se demander si le moment n’est pas venu pour les institutions de revoir, elles aussi, leurs fondamentaux. Bien sûr chaque faille relevée fait l’objet d’une exploitation systématique. Mais, tout de même, le nombre d’affaires en cours pourrait conduire à se poser la question sur une remise à niveau de nos valeurs nationales.
Wellcom, au travers du réseau Ecco, publiera fin septembre la première étude internationale des valeurs dont les principaux éléments ont permis de proposer aujourd’hui, 6 juin, au palais du Luxembourg une présentation en avant-première rendue possible grâce au travail effectué par les entreprises elles-mêmes. Un travail qui pourrait servir de référence à nos institutions.
Des valeurs institutionnelles aux valeurs financières des marques, franchissons allègrement la distance en donnant la parole à Jean-Baptiste Danet, président d’Interbrand. Son entreprise vient de publier la 4ème édition des valeurs de marque qui place en haut du podium la marque Louis Vuitton (à hauteur de plus de 15 milliards d’euros) pour laquelle il est intéressant de noter l’entrée pour la première fois dans ce classement, de marques Business to Business.
Dans le cadre de cette Wellnews aussi, prenez le temps de lire les quelques lignes relatant l’étude de Syntec Conseil en Relations Publiques menée avec le concours de l’Institut LH2. Elle s’est intéressée, pour la première fois, aux investissements des entreprises non plus par techniques de communication mais par publics selon les grands enjeux des entreprises. Une approche à même de renouveller la vision du marché de la communication.
Bonne lecture !