Côté positif : une économie qui bon an-mal an ne va finalement pas si mal et un moral qui a tendance a s’améliorer.
Côté négatif : une fiscalité qui a du mal a couvrir la dette publique et ce qu’il convient désormais d’appeler une fracture sociale.
Que dire de la communication dans tout cela ? Et bien tout simplement qu’elle gagnerait nettement en efficacité pour accompagner ces différents enjeux si elle était considérée, non seulement par celui qui la reçoit mais surtout par celui qui l’émet, non pas comme du maquillage, mais plutôt comme un révélateur d’une réalité vécue.
Cela éviterait bien des incompréhensions et surtout de croire que la communication formalisée peut réussir ce qui ne l’aura pas été par la communication informelle c’est-à-dire l’écoute, l’échange, la compréhension mutuelle. Mais ce serait peut-être refuser de croire au Père Noël ce qui, concédons-le, n’est pas de saison.
Bonne lecture à tous !